jeudi 17 juin 2010

Back in the business














Oh, tiens, un blog laissé à l'abandon...

Y'a même de l'herbe qui commence à pousser entre les mots... Va falloir du temps pour rattraper plus de quatre mois sans entretien.

Ce n'est pas pour me donner d'excuse mais je ne me suis pas mise au vert pendant ce black-out, j'étais seulement /coupure pub/ en train de travailler sur la mise en ligne d'un site annexe mais ô combien génial et chronophage du magazine pour lequel je travaille. Pour voir le résultat, cliquez ici. /fin de la pub/.

Quand la nuit prend le pas sur votre jour, ça brouille les idées. J'ai pourtant retrouvé des débuts de posts alléchants : un truc sur Guillon l'encourageant à taper encore plus fort sur Besson mais aussi à travailler un peu plus le côté humoristique de ses textes. C'est toujours plus difficile de défendre une critique de comique qui ne nous a pas tiré un sourire au saut du lit. Cela dit, s'ils m'enlèvent mon Guillon du matin, on va vraiment plus être pote avec Inter-je-fais-des-excuses-alors-qu'on-m'a-rien-demandé !

J'avais aussi un délire on-ne-nous-dit-pas-tout sur BP dans le golfe du Mexique. Aujourd'hui, on commence à déterrer d'autres problèmes autour des infrastructures de groupe pétrolier en Alaska. Je conseille un petit tour sur le site Behind The Logo. Pas besoin d'un post rageur, les photos parlent très bien d'elles-mêmes.

Et mon billet détrempé de larmes sur la défaite de Roger Federer en quart de finale de Roland-Garros ? Il sèche, difficilement. La longue série de records que cette défaite achève (Federer a été présent à toutes les demi-finales de tous les tournois du Grand Chelem depuis juillet 2004, c'est-à-dire 23 tournois de qualité supérieure de suite et en petite foulée), c'est inestimable... C'est le numéro 1, par dessus l'histoire. Je vous engage à lire le papier dans le GQ du mois, c'est beau, c'est lyrique... C'est fou, quand les journalistes parlent du jeu de Roger, ils écrivent des poèmes.

Mais j'avais promis de me taire sur le sujet. Tout le monde n'est pas fan de tennis. Ce qui m'impressionne toujours c'est de voir, en comparaison, le nombre de fans de foot. Alors qu'il peut se passer 90 minutes sans aucune action. Surtout quand la France joue. Oups. J'avais aussi dit que je me tairais sur ce sujet... Lorsqu'on reprend la plume (le clavier), on se laisse parfois déborder.

D'ailleurs, j'étais venu ici pour désherber tout cela et repartir sur une jolie pelouse tout neuve. C'est pas gagné, j'ai encore l'impression d'avoir jeté un pavé dans la mare (mais c'est quoi cette montagne rocheuse qui s'élève au milieu de mon bassin central ?!?). Demain, les cathos conservateurs perdent contre les métallos ! Ah non, ça c'était le post brouillon d'hier... Ça disait grosso modo, le Villiers et la Boutin m'exaspèrent et le HellFest de cette année va être une tuerie, oui ma petite dame.

"I wanna rock and roll all nite and party every day" - Kiss

Aucun commentaire: